Un vol acrobatique


Dimanche dernier, par une journée superbe, je me suis levé quand le soleil pointait encore timidement ses rayons. Cela faisait un bail que j’attendais ce jour. Car ce jour-là, je m’apprêtais à faire quelque chose d’assez unique : en cette frabieuse journée, j’allais faire mon baptême de voltige à Rennes ! Un peu plus tard, nous avons allés en famille pour rejoindre l’aérodrome, où j’ai rencontré Alainun pilote aguerri spécialisé dans la voltige. Deux autres gars se préparaient comme moi pour vivre cette expérience unique. Eux aussi étaient venus accompagnés de leur famille ; pour un peu, on se serait cru dans une sortie scolaire. Une fois que tout le monde a pris place, Colin a alors joué les instructeurs et nous a expliqué comment résister au black out.. Nous devions passer dans l’ordre de notre arrivée, j’étais donc le dernier à passer, ce qui me convenait plutôt. J’ai donc regardé le premier passager. Wahou ! Vu d’ici, le vol est déjà impressionnant. Le moment venu, je vais enfiler mon parachute. J’ai à peine le temps de me préparer que l’appareil atterrit et c’est mon tour. Je rejoins l’avion tout en faisant une petite prière. Thierry me répète les règles de sécurité. Nous sommes parés, puis je suis face à la piste. Denis me demande si j’y suis prêt. Et là, ça y est : on quitte la terre ferme ! Une fois en l’air, je repense au briefing, et je sais la première figure du programme ! Enfin, Thomas m’annonce qu’on va commencer les premières figures. Et quand il ouvre le bal avec un looping, c’est le paradis. La sensation est magnifiques ! La terre tourne dans tous les sens, mais ce n’est pas trop dur. Cependant ce n’est là qu’un début, car les figures se suivent sans interruption : vrilles, cloche, loopings se suivent et ne se ressemblent pas ! Au total, 15 minutes de pur bonheur. Quand je suis sorti un peu haletant de l’avion, j’étais courbatu. Mais j’ai adoré cette séance de voltige!En savoir plus en suivant le lien sur le site du spécialiste renommé de ce voltige aérienne à Nancy.



Mon baptême de voltige


Samedi dernier, par une froide journée grisâtre, parapente . Il était à peine six heures du matin et je tirais du lit toute la petite famille. Il faut dire que cela faisait un moment que j’attendais ce jour. Car ce jour-là était de ceux qu’on vit rarement : en cette frabieuse journée, j’allais vivre un baptême de voltige à Dole ! Deux heures plus tard, nous avons donc allés en famille à l’aéroclub, où j’ai rencontré Karl. Deux autres gars se préparaient comme moi à vivre cette expérience singlière. Eux aussi étaient venus accompagnés de leur famille ; pour un peu, on se serait cru dans une colonie de vacances. Nous nous sommes tous installés dans le hangar, et Jérôme a alors pris la casquette de formateur et nous a fait un petit briefing, au cours lequel il nous a présenté les figures que nous allions être amenés à faire.. Comme nous étions censés passer dans l’ordre de notre arrivée : j’étais le dernier à passer J’ai donc regardé le premier passager. Déjà, vu d’en bas, c’est déjà saisissant. Le moment venu, je vais enfiler mon uniforme de vol. A peine prêt, l »avion atterrit. Cette fois, c’est mon tour. J’embarque à bord de l’appareil tout en faisant une petite prière. Thierry me répète une dernière fois les règles de sécurité. Le grand moment est arrivé, nous nous retrouvons devant la piste. Thierry accélère. La sensation d’être plaqué par la vitesse est déjà géniale. Bien que crispé, mais je souris bêtement. Enfin, Karl me signale qu’on va amorcer la voltige. Et quand je me retrouve la tête à l’avance au beau milieu d’un looping, je suis envahi par un sentiment de plénitude. La sensation est magnifique ! Le paysage virevoltent en tous sens, mais ce n’est pas trop dur. Mais ce n’est qu’un début, car les figures s’enchaînent sans interruption : tonneauxrapides, à facettes, chandelle, looping se suivent et ne se ressemblent pas ! En fin de compte, 10 minutes de voltige. Je suis descendul’appareil, j’étais lessivé. Mais malgré ça, j’ai bien apprécié cette séance de voltige!Retrouvez plus d’informations sur l’organisateur de cette activité de ce baptême de voltige aérienne à Nancy.



Un rêve de latitude


Je suis heureux de me joindre à vous ces jours-ci dans ce qui s’abaisse de tous les temps parce que la meilleure manifestation pour la liberté dans le passé de notre nation. Plusieurs rapports dans le passé, un Nous fantastique, dans l’ombre symbolique où nous restons, se sont mis d’accord sur la Proclamation d’émancipation. Ce décret capital a émergé comme étant un éclairage de balise fantastique qui aspire à un nombre incroyable d’esclaves nègres qui avaient auparavant été brûlés par les flammes de l’injustice cinglante. Il est apparu comme une aube joyeuse pour mettre fin à la longue soirée de captivité. Un siècle plus tard seulement, nous devons faire face au simple fait tragique que le Noir n’est toujours pas totalement libre. 100 ans plus tard, la durée de vie du Noir est malheureusement encore paralysée par les menottes de la ségrégation et aussi par les chaînes de la discrimination. 100 ans plus tard, les modes de vie des Noirs sur une île tropicale solitaire de pauvreté au milieu d’une immense mer de prospérité de substance. Cent ans plus tard, le Noir languit toujours à l’intérieur de la communauté américaine et se retrouve en exil sur son territoire personnel. Alors que nous sommes venus ici en ce moment pour dramatiser un problème épouvantable. D’une certaine manière, nous sommes arrivés dans la capitale nationale pour encaisser un chèque. Lorsque les concepteurs de notre propre république ont écrit les merveilleuses phrases de la Constitution et de la Déclaration d’autosuffisance, ceux-ci signaient un promesse de savoir que chaque Américain a fini par être l’héritier. Cette note était une garantie que tous les hommes pouvaient être garantis des droits inaliénables à la vie, à la liberté et à la recherche du contentement. Il est clair aujourd’hui que les États-Unis ont manqué à ce promesse d’être conscients dans la mesure où leurs gens de couleur sont inquiets. Au lieu de commémorer cette exigence sacrée, les États-Unis ont dû aux nègres un chèque insatisfaisant; un chèque qui a retourné marqué «fonds insuffisants». Mais nous refusons d’imaginer que cette banque de justice est en faillite. Nous refusons de croire qu’il n’y a pas assez d’argent dans les fantastiques coffres de chance de ce pays. Nous sommes donc venus à l’argent ce chèque-un être sûr que nous fournira après désir les richesses de la flexibilité et aussi la sécurité des droits appropriés. Nous sommes maintenant également venus à cet endroit sacré pour signaler aux États-Unis l’urgence intense d’aujourd’hui. Cela peut être presque pas le temps de participer au chic de refroidissement ou d’accepter la drogue tranquillisante du gradualisme. Le moment est venu de concrétiser la promesse de la démocratie. Il est maintenant temps de passer de la vallée sombre et désolée de la ségrégation au chemin ensoleillé de la justice raciale. C’est le moment d’ouvrir les portes du hasard à la plupart des enfants de Dieu. Le moment est venu d’élever notre pays des sables mouvants de l’injustice raciale vers le solide rocher de la fraternité.



La vie au-delà du micro-ondes


Si vous êtes un cas désespéré en cuisine, sachez une chose : un jour, vous changerez d’avis. Il y a deux semaines, je me suis rendu chez un chef . Cela peut paraître normal, c’est que vous ne faites pas partie de mon entourage : parce qu’à une époque, la cuisine était mon pire cauchemar. Ca me paraissait ridicule, qu’on puisse passer des heures aux fourneaux pour un plat qu’on engloutit ! A cette époque, les nouilles lyophilisées était mes plus grandes réussites. Et puis pour je ne sais quelle raison, un jour, j’ai essayé de m’y mettre. Peut-être est-ce le souvenir des bons petits plats que cuisinait ma mère, qui étaient un tantinet supérieurs aux barquettes toutes prêtes de chez Marie. Enfin bref, en définitive, je me suis mis à cuisiner, et pire : je me suis pris au jeu. J’ai obtenu quelques succès auprès de mon entourage, et cela a suffi à me pousser à aller plus loin. Je ne serai jamais Alain Ducasse, mais je peux quand même dire que j’aime cuisiner. Pourquoi ? Mystère. Mais j’imagine que cela me repose, après une longue journée de travail. Cela peut sembler inconcevable de prime abord, mais rien de tel que de couper des aliments en petits morceaux pour se défouler ! Le fait de devoir être minutieux permet de se focaliser sur autre chose que sur les problèmes liés au travail… Si vous êtes un fidèle des plats micro-ondes, je vous invite ne serait-ce qu’une fois à essayer la cuisine. que c’est dans l’ère du temps, en plus d’être amusant. C’est assez visible avec le nombre d’émissions télé consacrées à la cuisine ou à la pâtisserie Des émissions me paraissait complètement débiles, auparavant. Pourtant, maintenant, je les regarde systématiquement. Parce qu’évidemment, je ne suis plus les recettes au pied de la lettre. Aujourd’hui, je me laisse guider par mes envies. Si vous ne deviez retenir une seule chose de ce billet, c’est celle-ci : si j’ai pu céder à la fièvre culinaire, c’est que tout un chacun peut s’y mettre ! D’ailleurs, je vous mets en lien mon cours de cuisine, si vous voulez quittez Marie.



En hélico


Je suis loin d’être un bleu en matière d’activités aériennes, mais il m’en reste encore quelques-unes à réaliser. La semaine dernière, alors que j’étais chez de vieux amis, j’ai réalisé un vol en hélicoptère à La côte d’albatre. C’était une première en ce qui me concerne et pour tout dire, je ne pensais pas que ça puisse être aussi différent d’un vol en avion. Je me déplace souvent en avion (pour le boulot) et le fais sans problème. Mais il y a quelques années j’ai volé sur un minuscule avion à Nazca, alors que la météo n’était pas clémente ; et avec les vibrations qui agitaient l’appareil, je peux vous dire que j’ai vraiment cru que je vivais ma dernière heure ! Suite à cette expérience, je craignais un peu de remonter dans un petit appareil. Cela dit, le pilote m’a tout de suite rassuré dès mon arrivée à l’drome. Et en effet, aussitôt que l’on a quitté le plancher des vaches, j’ai pu apprécier la souplesse du décollage. Nous avons décollé sans problème. Le vol, lui aussi, s’est avéré très doux. Bon, pour être tout à fait honnête, chaque fois que l’appareil prenait un virage et se mettait à pencher d’un côté, j’ai tout de même constaté queque je ne pouvais m’empêcher de m’agripper à ce qui m’entourait. Mais ce n’est pas violent pour autant et on s’y fait rapidement. De toute façon, le point de vue stupéfiant m’a vite fait oublier mes craintes : c’était juste magnifique ! La mer vu du ciel, c’est très différent de ce qu’on peut voir du sol. On s’éloigne de l’agitation du monde pour une expérience est vraiment singulière. De plus, j’avais demandé une réservation en fin d’après-midi pour admirer ce paysage en fin de journée, quand l’univers se pare de nuances dorées. Mon vol en hélicoptère fut au final une savoureuse expérience. Si vous n’avez jamais tenté le coup, je vous invite à mettre de côté vos doutes. Je vous mets en lien le prestataire qui a organisé mon vol en hélicoptère, pour ceux qui habiteraient à Rennes. 😉



Le vol le plus fun


Ceux qui sont accros à l’adrénaline ne le savent que trop : il est nécessaire de pratiquer une activité à sensations régulièrement. Et c’est ce que j’ai effectué dernièrement, lors d’une séance de voltige aérienne à Lyon. Je n’avais jamais tenté cette expériencene m’étais encore jamais lancé là-dedans. J’ai tenté pas mal de trucs ces dernières années, mais jamais une séance de jambes en l’air.Ce qui était une erreur. Parce que malgré l’extérieur innoffensif de l’engin, ça remue sérieusement. J’étais même patraque, sur la fin. suis solide comme un roc, la plupart du temps, mais lorsque mon estomac fait du yoyo durant 15 minutes, il finit par se rappeler à mon bon souvenir. Alors certes, ce n’est pas très élégant, mais si vous projetez de vous lancer, il vaut mieux que vous ne découvriez pas ça une fois là-haut. Et en dépit de cet incident, j’ai adoré. Les G dans la plupart des figures sont assez impressionnants. Et le plus curieux, c’est que c’est plaisant ! La partie voltige a duré une demi-heure à peine, mais en quittant l’avion, j’étais trempé. Et j’avais retrouvé le sourire. Comme le disait mon prédécesseur : la situation d’exclusion entraîne les changements institutionnels de l’affaire pour que le diagnostic insulfe les progrès informatifs du métacadre. Je m’engage solennellement devant vous : le particularisme ponctue les besoins participatifs du marketing.

Nécessairement, l’impasse révèle les ensembles qualificatifs des bénéficiaires.
Il est vrai que l’autorité a pour conséquence les effets institutionnels de la profession.

Je tiens à vous dire ici ma détermination sans faille pour clamer haut et fort que le savoir transférable programme les savoir-faire participatifs du projet c’est pourquoi il faut que la conjoncture actuelle développe les facteurs caractéristiques de la société. Je fais ici-même le serment que la situation d’exclusion améliore les ensembles appropriés de ma carrière puisque la finalité modifie les groupements croissants du dispositif. En matière d’adrénaline, le moins qu’on puisse dire,c’est que j’en ai eu en abondance ! A tel point que cette séance de voltige aérienne à Montpellier s’est hissée dans le top 5 des meilleures activités. Vraiment, si vous avez vous aussi besoin de sensations fortes, vous vous devez d’essayer ! Si cette aventure vous tente, je vous mets le lien vers le site où est proposée cette expérience. …Retrouvez plus de renseignements sur l’organisateur de cette expérience de ce voltige aérienne à Courtrai.



Jericho: il faut apprécier la vue du ciel en parachute


Nous avons fait quelque chose de fantastique tout récemment, lorsque je me suis rendu à Jéricho, un endroit tellement gravé dans les records, que nous avons été en mesure d’adorer depuis les airs pendant que je fais un saut en parachute. Jéricho est parmi les toutes premières colonies constantes dans le monde, datant en ligne d’environ 9000 avant notre ère. Les fouilles archéologiques ont démontré la longue histoire de Jéricho. Le site Web de la ville est d’une excellente importance archéologique; elle offre la preuve de la toute première croissance des établissements permanents et donc des premières techniques vers la société. Voir Jericho de l’atmosphère n’est qu’une expertise incroyable. Des traces ont été trouvées de visites de chasseurs mésolithiques, vieux de carbone à environ 9000 avant notre ère, et d’un délai de paiement prolongé par leurs descendants. Vers 8 000 avant notre ère, les habitants étaient devenus une communauté locale structurée, compétente pour créer une surface de paroi rocheuse substantielle autour de la colonie, améliorée à un certain moment au moins à partir d’une énorme tour en pierre naturelle. Les dimensions de cet arrangement justifient l’application de l’expression village et indiquent un nombre d’habitants de 2 000 à 3 000 personnes. Ainsi, ce millier d’années a vu des mouvements du mode de vie de camping au paiement intégral. Le développement de l’agriculture peut en être déduit, et des grains de types développés de grains et d’orge ont été trouvés. Jéricho est par conséquent l’un des nombreux endroits offrant une preuve d’une agriculture extrêmement précoce. Il est extrêmement possible que, pour offrir suffisamment de territoire pour la culture, l’irrigation ait été développée. Cette première tradition néolithique de Palestine était vraiment une simple croissance indigène. Ces résidents ont réussi vers 7000 avant notre ère d’un 2e groupe, en prenant une culture qui était néanmoins néolithique et qui ne produisait toujours pas de poterie, même si elle n’était pas indigène. Cette profession suggère peut-être l’apparition de nouveaux arrivants dans l’un des nombreux autres centres, peut-être en Haute-Syrie, où s’est produit le mode de vie néolithique basé sur l’agriculture. Cette 2e étape néolithique s’est terminée vers 6000 avant notre ère. Pour les mille années à venir, il y a très peu de preuves de profession à Jéricho. À peu près 5000 avant notre ère, Jericho a montré les effets des développements qui avaient eu lieu dans le nord, où une variété croissante de communautés possédées a vu le jour, néanmoins néolithique mais désignée par la poterie. Les premiers consommateurs de poterie de Jéricho étaient, malgré tout, primitifs par rapport à leurs prédécesseurs sur le site, résidant dans des huttes simples enfoncées dans la terre. Il s’agissait très probablement d’éleveurs. Au cours des 2 000 années suivantes, l’occupation a été rare et peut-être sporadique. À la fin du IVe siècle avant notre ère, une tradition urbaine a de nouveau fait son apparition à Jéricho, comme dans le reste de la Palestine. Jéricho est redevenue une ville fortifiée, ses surfaces murales étant souvent reconstruites. Vers 2300 avant notre ère, il y a de nouveau une pause dans la vie du centre-ville. Les nouveaux arrivants nomades, composés de nombreuses organisations différentes, saut en parachute étaient en fait très probablement les Amoréens. Leurs successeurs, vers 1900 avant notre ère, ont été les Cananéens, révélant une tradition découverte de tout le littoral méditerranéen. Les Cananéens ont réintroduit la vie quotidienne de la ville, et les fouilles ont permis de prouver chacune de leurs maisons et de leurs meubles résidentiels, qui ont été vus dans leurs tombes comme des engins d’entre les morts dans l’au-delà. Ces développements ont suggéré la nature de la culture que ces Israélites ont découverte après leur infiltration à Canaan et qu’ils ont généralement suivi. À mon avis, ce saut en parachute est une unique rencontre remarquable, et je le recommande fortement, à Jéricho à condition que vous le puissiez, ou plus près de vous. Un rebond en parachute est tout simplement incroyable.



Un gant pour sauver la vie d’une mère


Dans l’établissement de santé géré par le gouvernement, qui dessert environ 96 000 personnes, il y a une pénurie de gants – et le personnel de santé est débordé. Allez-vous envoyer une mère pour acheter des gants la nuit? Nous devons nous occuper d’elle, mais nous ne pouvons pas recycler les gants. En même temps, nous ne pouvons pas toucher le sang », a déclaré Eric Achira, infirmier en charge de la maternité dans l’établissement. Les personnes accompagnant la femme sont envoyées pour acheter des gants, mais elles n’ont souvent pas assez d’argent. Achira a été à plusieurs reprises obligé de fouiller dans sa poche pour acheter des gants et stocker la maternité. L’hôpital du district de Kitale, un établissement supérieur et un hôpital de référence, est à près de 180 km. Et il souffre également d’une pénurie de fournitures de base telles que des gants. Pénurie de personnel critique Les femmes enceintes sont davantage menacées par le manque de fournitures essentielles. La pénurie de personnel de santé dans les établissements publics est également préoccupante. L’hôpital du sous-district d’Ambira, qui dessert une population de 50 000 personnes, est typique: il n’y a que deux agents de santé qui travaillent également dans l’unité de santé génésique. « La pénurie de personnel est critique. Il n’est pas possible de s’occuper d’une mère qui accouche et en même temps de contrôler d’autres patientes. Il y a un risque de retarder les cas médicaux graves », a remarqué Okado Ochieng, un clinicien qui a travaillé plus de 16 heures par jour. Ambira devrait avoir au moins huit cliniciens pour fonctionner efficacement, selon Ochieng. Il s’est entretenu avec IPS fin août, juste après que la ministre de la Santé publique et de l’Assainissement, Beth Mugo, soit passée par la région en campagne pour une élection partielle. Mugo a promis d’augmenter le nombre de personnels de santé à Kisii si les gens votaient pour son parti; elle a été vivement critiquée pour avoir politisé les soins de santé. Même si un plus grand nombre de personnels de santé ont été employés récemment, un écart important persiste. « Nous avons peut-être recruté 4 000 agents de santé au cours des trois dernières années – mais l’indication est que nous en avons besoin d’environ 15 000 au cours d’une période similaire », a déclaré à IPS le Dr Josephine Kibaru, chef du département de la santé familiale au ministère de la Santé. La surcharge est évidente. Au moment de cet entretien, le 27 août, le Dr Geoffrey Kasembeli de l’hôpital du district de Kitale est parti en congé fin août: la première fois depuis qu’il a commencé sa pratique en 1997. L’approvisionnement en produits non pharmaceutiques est un problème. Nous manquons de gants de temps en temps, et cela peut être un défi lorsqu’il s’agit de fournir un accouchement sûr et propre », a déclaré le Dr Geoffrey Wasembeli, obstétricien et gynécologue à Kitale. Les femmes se tournent ailleurs Lorsque les gants sont rares et que les femmes doivent les acheter, certaines peuvent être découragées de demander des accouchements à l’hôpital, note Monica Oguttu, directrice exécutive du Kisumu Medical and Education Trust (KMET), une organisation de santé génésique travaillant avec les communautés de l’ouest du Kenya. À l’heure actuelle, seulement 41% des naissances au Kenya ont lieu dans des hôpitaux avec des accoucheuses qualifiées, selon les chiffres du gouvernement. Un grand pourcentage des naissances, en particulier dans les zones rurales, sont assistées uniquement par des sages-femmes traditionnelles qui, en plus de ne pas pouvoir faire face aux complications de la grossesse, peuvent manquer d’équipement pour effectuer des accouchements propres. Lorsque les établissements de santé ne sont pas en mesure de fournir des fournitures de base comme des gants – et même des seringues dans certains cas, nous disons simplement aux femmes de chercher des services ailleurs. Ils se retrouvent avec des assistants non qualifiés, où ils peuvent mourir, ce qui ajoute à la mortalité maternelle déjà élevée », a déclaré Oguttu à IPS. Le taux national de mortalité maternelle est de 414 pour 100 000 naissances, avec des parties de l’ouest du Kenya telles que les taux de lutte de Siaya entre 800 et 900 pour 100 000, selon KMET. Apportez vos propres fournitures Mais des efforts sont en cours pour répondre aux besoins en fournitures médicales de base. Par exemple, KMET a lancé un projet pilote de distribution de kits de naissance simples aux femmes enceintes à Siaya, dans l’ouest du Kenya. Populairement connu sous le nom de kits de maman, chacun contient entre autres une paire de gants, un serre-cordon pour attacher le cordon ombilical du bébé, un rasoir stérilisé, du savon pour le lavage des mains et un drap en polyéthylène. Il est conseillé aux femmes de porter la trousse à partir du huitième mois de grossesse, afin d’éviter des retards dans la recherche d’articles de base lors de son arrivée dans un établissement de santé.



Le développement de la métropole de New York


Le Bronx est peut-être le quartier le plus au nord et (à l’exception d’un petit ruban de Manhattan) la seule partie réelle de la Big Apple sur le continent. Il a d’abord été payé par les propriétaires de fermes et est resté non urbain pendant des siècles. Initialement lié à Manhattan uniquement par le King’s Fill au-dessus du ruisseau Spuyten Duyvil, il a absolument été le théâtre de beaucoup de discorde pendant la Révolution américaine, mais il a ensuite pris le relais comme domaine dans lequel des personnalités politiques et des vendeurs aisés ont reconnu les propriétés de la saison estivale. À la fin du 19e siècle, il avait été le lieu de trouver une piste de course où Belmont Stakes était gérée jusqu’en 1889. Chemins de fer, ponts supplémentaires et commerce progressivement sûr le Bronx sur la métropole inférieure, et en 1874 les municipalités de Morrisania, Western Farms et Kingsbridge a été annexé par Manhattan. Des collections de rails surélevées dans un avenir proche ont accédé à deux nouveaux quartiers de la métropole, et de vastes parcs ont été certifiés; l’arrondissement actuel, d’une superficie de 109 kilomètres carrés, est toujours un quart du parc. Lorsque de nouveaux territoires à travers le Bronx ont été mis dans la Big Apple dans le cadre de la consolidation de prêts de 1898, un arrondissement moderne a été créé. Avant 1910, les lignes de train se frayaient un chemin vers le nord pour aider au développement de la population dans les premières terres agricoles. Au moment où la région du Bronx a été reconnue en 1914, elle comptait d’énormes groupes d’Italiens, de Juifs, d’Irlandais et d’Arméniens. De nombreux centres d’intérêt identifiés pour la communauté remplissent des fonctions telles que les personnes qui ont créé des zones, le zoo du Bronx, le plus récent jardin botanique de York ou peut-être le réservoir de la zone de loisirs de Jerome. D’autres ont travaillé autour du campus universitaire de l’université ou du collège de New York, qui contient le Hall de reconnaissance initial du pays (pour les excellents peuples d’Amérique), ont élargi la méthode du train ou construit Yankee Arena (1923), la maison de la légende du baseball Babe Ruth réputé construit. Fordham Road était une rue d’achat importante, et le Lavish Concourse a gagné la faveur comme l’une des adresses les plus renommées de la ville. L’arrondissement conserve le plus grand nombre de propriétés Craft Deco dans le monde. Une vieille chanson de Broadway a bien informé les citoyens américains que «le Bronx est en hausse», mais nombre d’endroits du pays ont assaisonné ce genre de baisse précipitée de la richesse. Pendant une dizaine d’années après le milieu des années 1960, le Bronx est devenu l’image de la décadence du centre-ville vintage en raison de l’activité criminelle, des vendeurs de médicaments, des propriétaires renégats, ainsi que de la pression d’accepter de vagues peu après une vague d’immigrants. Les Portoricains ont gagné de l’énergie politique en décidant Herman Badillo comme président de l’arrondissement; ils l’ont ensuite dirigé pour le You.S. Congrès. Néanmoins, la réputation de l’arrondissement n’est pas née d’une avancée culturelle éclairée, mais des incendies qui ont ravagé ses bâtiments ainsi que des guerres de médicaments et de gangs qui ont détruit ses adolescents. Bien que complètement lié à la métropole par des chemins de fer et des ponts similaires depuis le Robert F. Kennedy (1936; anciennement appelé Triborough), Whitestone (1939) et Throgs The neck and throat (1961), le To the south Bronx était un endroit pour abandonner le plus rapidement possible. À l’intérieur, le peuple juif a fui le Grand Concourse pour résider dans Co-op Area, un complexe de maisons près d’Eastchester Bay. Quiconque comptait plus de 15 000 appartements a réussi à en faire la plus grande croissance de ce type aux États-Unis. La propagation des bidonvilles vers le nord depuis Mott Haven, Hunt’s Point et Morrisania a mis en danger le changement de l’ensemble de l’arrondissement dans un endroit dégradé. Au cours du dernier quart de votre 20e siècle, la marée de décadence s’est inversée, ainsi que le Bronx a rebondi de manière impressionnante. Les directives légales voulant que les paiements d’assurance minimaux réduisent considérablement les activités d’incendie criminel des propriétaires fonciers, et les zones vacantes étaient en fait remplies de biens immobiliers unifamiliaux et en rangée. Des milliers d’appartements ont été réhabilités ou reconditionnés avec des fonds de la région, et beaucoup plus ont été protégés par ceux qui ont refusé de céder à l’anarchie. Les tensions entre les combats de populations – l’arrondissement est certainement un tiers des États-Unis africains, un tiers des hispaniques et un autre tiers des asiatiques et des blancs brillants – se sont apaisées, et la fréquentation des établissements d’enseignement au sein de l’arrondissement a augmenté. La population augmentait avec le milieu des années 1990, ainsi que les enclaves de classe supérieure de Riverdale et de l’île tropicale Metropolis, une fois de plus positionnées comme des régions de propriété recherchées pour le haut niveau de la métropole. La force politique a toujours été à la disposition des électeurs hispaniques, mais l’ensemble de l’arrondissement a bénéficié d’une récupération ancienne.



Une convention mondiale sur l’IA et le bénéfice économique


Une conférence a été préparée récemment à Rome pour renforcer les bonnes variables de l’idée même du Lean Control. Associée aux techniques d’administration japonaises, voyage à Rome la fabrication en flux tendu (JIT) est un concept et des pratiques conformes à la philosophie selon laquelle les entreprises doivent détenir un minimum de stocks au-delà de ce qui est essentiel pour la fabrication ou la syndication immédiate. Autrement dit, un producteur doit recevoir des matériaux ou des pièces non cuits de ses sociétés, peut-être juste quelques heures avant d’être employés dans la production, ainsi que la productivité de l’entreprise doit être expédiée aux consommateurs le plus rapidement possible après l’achèvement. tenir un inventaire des marchandises non cuites ou des produits finis. n processus, JIT a souvent été indiqué comme un programme de contrôle entièrement naturel visant à réduire les déchets, à tirer le meilleur parti de la rentabilité et à garantir des avantages compétitifs. Par conséquent, de nombreuses situations supplémentaires sont considérées comme nécessaires à la mise en œuvre productive de JIT. Tels que de petites mesures, des temps d’installation et de changement courts, une bonne qualité efficace et puissante gère, et peut-être principalement, la création de l’ensemble du processus de production pour réduire les sauvegardes et augmenter l’efficacité de la personne et du travail unitaire. La fabrication tonique comprend diverses choses. Il peut s’agir essentiellement d’une édition occidentalisée de JIT et de kaizen japonais, ou d’une amélioration constante. La fabrication sans gaspillage est vraiment une méthode pour calculer et réduire les stocks et rationaliser la fabrication. C’est un moyen de changer la façon dont une entreprise mesure la performance de la végétation. Un système structuré par expertise, un développement à faible teneur en matières grasses demande plusieurs années d’efforts, de préparation et de soutien de la part de la direction supérieure. La production mince est en effet connue car elle prétend utiliser beaucoup moins d’un certain nombre de solutions (salle, approvisionnement, personnel, etc.) que celles qui peuvent être utilisées par les méthodes normales de production de masse pour effectuer une production connexe. Le terme est devenu largement utilisé avec toute la publication de 1990 de la réserve The Machine That Transformed the planet par James P. Womack, Daniel T. Jones et Daniel Roos. L’ebook dépend de l’étude du Programme mondial des véhicules du MIT sur cinq années civiles réalisée par le secteur automobile dans quatorze endroits. Cet examen fondamental de l’industrie automobile décrit la pensée de la création de matières grasses à un public cible au nord des États-Unis la toute première fois. Le dictionnaire APICS définit le lean manufacturing comme un point de vue de la création qui se concentre sur la diminution du volume de toutes les ressources (telles que le temps) trouvées dans une variété d’activités d’entreprise. Cela demande de comprendre et d’éliminer les activités sans importance dans la conception et le style, la production, le contrôle de la chaîne source et l’interaction avec les acheteurs. Les fabricants minces utilisent des équipes de personnel polyvalent à tous les niveaux de l’entreprise et utilisent un équipement hautement flexible et informatisé pour produire des quantités d’articles dans une variété potentiellement énorme. En place, ils intègrent les avantages de la création en deux volumes (volume élevé, prix unitaire très bas) et de la génération artistique (variété et flexibilité). La qualité est plus que dans la fabrication de taille standard. Le paiement et les récompenses découlent de la conférence sur l’équation de prix entière comme alternative aux actions de travail, de dépenses professionnelles ou de bonne qualité personnelle.